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théâtre L'éloge de l'âne ou la vie brulée de Giordano Bruno Compagnie Michel Vericel | ||
Extraits de presse
Le Monde - Pierre Moulinier " Dans cet espace quil habite tout entier, Michel Vericel se collette avec les mots, avec la pensée. Sans jamais oublier le public avec lequel il partage généreusement ce corps à corps grave et joyeux, apparemment débridé, mais contrôlé jusquau moindre détail. La moralité du spectacle est limpide : " Plus vous êtes honnête, plus vous êtes couillonné ". En proclamant magnifiquement, à travers le personnage de Giordano Bruno, des vérités qui sont bonnes à dire, Michel Vericel fait du théâtre un lieu de salubrité publique
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Lyon Capitale - Cathy Bouvard " Le spectacle de Vericel mêle habilement la pensée, la vie et luvre, lâne et lhomme (
) Loin de Bruno canonisé, cest un être rugueux et obstiné que Vericel nous fait découvrir dans une mise en scène subtile peuplée de très belles images. Changeant de registre sans cesse, du rire le plus gras à la référence intellectuelle la plus fine, le spectacle ne cesse détonner par son intelligence et son invention
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Lyon Poche - Marielle Créach " Certes, quand il nous parle de Diogène, de Giordano Bruno ou de Nietzsche, cest de lui-même que nous parle Michel Vericel, de son rapport à la vérité et à la mort. Toujours différents, ses spectacles se ressemblent étrangement : même dépouillement, du décor comme du corps de lacteur, même éblouissante blancheur des lumières, des tissus, même admiration pour des hommes qui se sont brûlés à leur propre vie, même exigence enfin. Avec pudeur et impudeur, Michel Vericel se démasque
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Le Progrès - J. Ph. Mestre " Giordano Bruno a été brûlé
parce quil était irréductiblement attaché à la liberté de penser par soi-même
Michel Vericel aime bien ce genre dempêcheurs de ronronner en cercle. Et surtout, il sait les apprivoiser sans les attiédir dans des spectacles percutants, insolents, parfaitement imprévus, cavalcadants, mêlant grotesque et sublime, bouffonnerie et raffinement
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