5 février à 20h30

Barbara Carlotti

concert la voix des mots


Presse

Barbara Carlotti sous un arbre

Extraits presse
L’Idéal  2008


Barbara Carlotti s’extrait du lot et des courants. A part. En haut. Sans qu’on puisse la lier au flux et au reflux des modes passagères – tout juste l’imagine – t – on au générique d’un vieux James Bond, créature fatale, chantante et mystérieuse.
Télérama

Cet album de femme fatale au bord de ses inquiétudes pourrait déjà figurer parmi nos choix de l’année.
Libération

Barbara Carlotti synthétise à merveille les différentes couleurs d’un fantasme jusque là véhiculé par des artistes comme etienne daho ou les Innocents : celui d’une pop française affranchie.
Le Figaro Magazine

Barbara Carlotti ne ressemble à personne, ce qui lui permet de créer des chansons désarmantes de simplicité. Il y a de la tradition en elle mais aussi de l’audace dans les arrangements et la construction. Ce deuxième album est une réussite
VSD

Une grâce et une féminité ntemporelle, une simplicité qui n’exclut pas une certaine sophistication, un cocktail d’influence du meilleur goût.
Ouest France

Mélodies enchanteresses, textes malicieux, arrangements pétillants, Barbara Carlotti s’inscrit avec grâce dans la droite ligne d’une chanson française éternelle.
BIBA

Ce deuxième album confirme les qualités du premier : évidence des mélodies, originalité de la voix, poésie des textes, élégance des arrangements… Voilà une artiste dont on parlera longtemps.
Femme Actuelle

Gainsbourienne et gracile, l’interprète se montre séduisante par ses langueurs pas monotones, par sa pop élégante à la charpente lumineuse et à l’orchestration voluptueuse. (…) Une belle dame de la chanson qui manie le verbe avec autant d’élégance que d’autodérision dans le nuancier des émotions.
A Nous Paris

Une écriture agile, un univers fort, une voix soyeuse
Les Inrockuptibles


Les lys brisés 2006


 Qu'il pleuve sur moi si je chante faux, je chante même quand il fait beau.
Quel que soit le temps, Barbara Carlotti n'est pas de celles qui chantent la météo ou le bottin. Voix à la suavité languide, textes à la mélancolie sensuelle, elle ressemble plus à une Juliette Gréco mâtinée de Nico qu'à une quelconque Barbie évadée d'un crochet télévisé.
Repérée par ce journal il y a deux ans avec un disque quatre titres, signée depuis, via le label Microbe, sur le mythique britannique Beggars Banquet (Tindersticks, John Cale, Mark Lanegan, etc.), la blonde Carlotti, corse ingénue de la Bastille, publie enfin son premier vrai album. Quatorze chansons à l'existentialisme romantique, habillées d'une pop chantournée aux éclats sixties intemporels, façon Gainsbourg période anglaise : basse en avant, guitares tricotantes. Le tout produit avec une efficace simplicité par Benoît Rault, leader du Ben's Symphonic Orchestra.
Sous des inflexions à l'apparente impassibilité, Barbara (on a envie de dire « junior » tant elle peut évoquer l'autre, la légendaire...) serpente entre Cannes et Tunis, amours brisées et passions en devenir, questions existentialistes et existence en question, parfois midinette, parfois philosophe, toujours fluide sans gracilité, expressive sans fioritures. Celle qui fait rimer Croisille, Croisette et pacotille dans une évocation ironico-envieuse du festival de Cannes, reprend aussi avec une aisance déconcertante le A rose for Emily, des Zombies. Le Lys brisé était le titre d'un film muet américain des années 20. Décliné au pluriel, c'est désormais la carte de visite éloquente d'une artiste bien singulière d'aujourd'hui.
1 CD Microbe/Beggars Banquet
Philippe Barbot Télérama 13/05/06

Découverte au cinéma mais authentique chanteuse à poigne, Barbara Carlotti sésuit avec son rêveur “Les Lys Brisés”, album qui organise les noces fastueuses entre chanson littéraire et pop anglo-saxonne. Il émane de cette jeune femme et de son disque une certaine classe, une élégance spirituelle
Les Inrockuptibles, May 2d, 2006

La voix distanciée rappelle autant Barbara que la Nico du Velvet Underground. L’élégance évoque une version féminine des minets en Weston de la Bande du Drugstore. Les chansons, quant à elles, flirtent avec la pop anglo-saxonne option The Zombies. Ciselé avec une orfévrerie mélodique rarement entendue sous nos latitudes, “Les Lys Brisés”, le premier album de Barbara Carlotti révèle une vraie chanteuse dandy.
Newcomer, May 2006


Une fois qu’on l’a entendue, on ne peut plus l’oublier. Une des voix les plus prometteuses du moment
Le Figaro, May 9th 2006

Quatorze chansons à l’existentialisme romantique, habillées d’une pop chantournée aux éclats sixties intemporels, façon Gainsbourg période anglaise
Télérama, May 10th 2006

Sa voix, d’une sensualité lasse, a le phrasé d’une Barbara au bord de la Méditerranée. Pourtant, Barbara Carlotti ne ressemble qu’à elle-même.
Libération, May 10th 2006


Barbara Carlotti pourrait bien être notre Nico à la française
Metro, May 9th

Un album touché par la grâce de bout en bout. Tout de suite, c’était palpable, on tenait là de la graine d’icône. Un phrasé, des saillies verbales et des arrangements à l’unisson d’une profondeur de chant (et de champs) qu’on ne rencontre que très rarement en ces contrées de starlettes dupliquées à l’infini
Trax, April 2006

Délicates et sobres, les chansons de Barbara Carlotti dégagent une élégance, un raffinement de ton qui vont à contre-courant de ces chanteuses à voix qui ont besoin de hurler pour convaincre
VSD, May 3d 2006

Barbara Carlotti croise Leonard Cohen et Françoise Hardy. Sa mélancolie douce et son humour élégant suffisent à orner ses compos pop d’un manteau sobre, aux proportions parfaites
20 Minutes, May 10th 2006

Barbara Carlotti. Dans son premier album, magie et sensualité opèrent
Biba, May 2006
 

made by jona design