UNE

EXTRAIT

CURICULUM VITAE

PROCHAINEMENT

Stanislaw Wisniewski

Cécile Pégaz

Thierry Tijeras

Wilhem Latchoumia

Jules Desgoutte



danse

Damascenarosa

Compagnie Stanislaw Wisniewski




© Jean-Loup Bertheau

agrandir l'image

© Thierry Tijeras

agrandir l'image


Cécile Pégaz


Cécile Pégaz a reçu une formation principale en danse classique et contemporaine au Conservatoire National de Région à Lyon. Elle intègre ensuite la Compagnie Stanislaw Wisniewski pour la création de Ma mère l'Oye présentée en 2000 à l’Opéra national de Lyon. Elle participe depuis lors à toutes les créations de la Compagnie, en résidence au Centre C. Chaplin de Vaulx en Velin. En 2005, Portraits et Ce n’était pas un film lui ont valu un 1er prix d'interprétation en danse contemporaine au Festival International de Prague. Dès ces débuts, elle explore d’autres registres d’expression scénique par la recherche et le travail théâtral contemporain, notamment avec la méthode Meisener. En 2001, Gilles Chavassieux au Théâtre Les Ateliers lui confie le rôle de l’enfant-au-delà-de-sa-mort, dans sa mise en scène de 9mm de Lionel Spycher. En 2001 et 2002, elle apparaît dans les mises en scène de Roger Planchon au TNP de Villeurbanne : Approche de Holderlin et Félicie la Provinciale où les innombrables personnages, l’espace et les vastes décors sont un défi. Au cinéma en 2003, elle acceptele rôle principal d’Héliotrope, court métrage de Geoffrey Enthoven et Sara Mac Master, en cours de diffusion et en compétition dans différents festivals dont celui de Gand. Elle développe cette source d'expression au travers de différentes collaborations. Dans la création en 2000 de Giacometti ou l'oiseau n'a pas de visage mise en scène par Albert Simond au Théâtre du Rond Point de Valréas, elle incarne aussi bien femmes, matière, sculptures… La frontière entre théâtre et danse disparaît. Elle participe ainsi à une création jeune public Jauk inspirée du théâtre balinais et mise en scène par Fabrice Taponard. Cette synthèse artistique qui caractérise son évolution trouve toute sa place dans les chorégraphies de Stanislaw Wisniewski qui associent volontiers d’autres arts en création, tels que musique et écritures… mises en espace.