Le choix dune écriture
Lécriture de ce spectacle est le croisement et la rencontre de plusieurs cultures autour dun thème commun les quatre éléments. Les textes rassemblés ne sont pas pris dans leur intégralité mais ils suivent le voyage de Mahura. Mahura, la fille qui travaillait trop (légende Bambara) dans 365 contes pour les grands et petits de Muriel Bloch, Hatier; Le géant de feu dans Légendes des mers, des rivières et des lacs, Gründ; La sécheresse dans Larbre à soleils de Henri Gougaud, Poin; Histoires deau (conte Rwandais) écrit par des élèves et enseignants, Grad (Il était une fois notre terre); Gougourhgah, loiseau qui appelle le soleil (légende australienne) dans 1000 ans de contes nature, Milan).Ainsi, le narrateur sapproprie les mythes et les réinvente. La tradition orale senrichit et continue sa route.
Lintention artistique est damener le spectateur à rêver avec Mahura, de linviter dans un univers imaginaire où la musique, les arts du cirque, le théâtre se croisent, se répondent et racontent ensemble une histoire, un récit court et plaisant, daventures imaginaires intemporelles, un conte.
Le conte permet à lenfant déveiller sa curiosité, de porter une réflexion sur un sujet donné, dexercer son imagination et sa créativité. La nature même du conte offre de part ses mots, ses respirations, ses répétitions, ses aventures, une histoire sans âge, sans lieu géographique bien défini ...