La Presse

«… Les spectacles de Winship Boyd s’accompagnent régulièrement d’ateliers à but pédagogique et ludique. Notamment parce qu’ils répondent aux goût des jeunes par leur dynamisme et leur humour. De plus, les danses urbaines sont fortement inspirées de techniques provenant de contrées lointaines pour certaines, notamment d’Afrique, d’Asie, du Brésil…
… Ainsi pour Des fois quand je suis seul, j’ai la peau à fleur de rythme, les six danseurs sont aussi différents que complémentaires…
… La compagnie des Pieds qui démangent (traduction d’Itchy Feet) s’attache à créer des spectacles de qualité grâce au partage et à l’échange entre les membres de la compagnie…
… Mélange des genres, donc, pour un spectacle haut en couleurs…»

Journal de Quetigny,
Lucie Romano, 11 avril 2003

«Temps danse : cinq compagnies pour clôturer le festival
… Le groupe Itchy Feet compte le temps. Successivement «Porteurs de sons» ou compléments visuels des musiques composées, les six danseurs ont fait découvrir à travers les rythmes et les mouvements, les gestuelles des danses contemporaines avec l’énergie de la danse africaine…»

Le progrès, 12 février 2003

«Le point fort de cette troupe de danseurs, outre ses aptitudes chorégraphiques, est la relation avec le public. A l’issue des courtes représentations, les explications sont fournies sur le travail présenté mêlant voix et images des habitants du quartier Gabriel Péri.»

Lyon Capitale, 23 octobre 2002

«Winship ou le plaisir du mélange
… Son goût pour la mixité des expressions artistique rentrait totalement dans le cadre du défilé 2000 de la Biennale de la danse. Nouveau passage sur un parcours riche déjà riche en expériences.»

Vaulx Magazine, 28 août 2000

«La danseuse-chorégraphe Winship Boyd n’en fini pas d’explorer la danse, les styles et les mélanges de corps et d’énergie… Avec la création de Chronique en 1998 et en 2001 Des fois quand je suis seul, j’ai la peau à fleur de rythme la compagnie Itchy Feet affine son style par la réunion de danseurs(es) venu(es) d’horizons multiples. La construction collective du spectacle offre une atmosphère mélangeant humour et dynamisme, dans un pêle-mêle de musique, de voix, de mouvements sonores et rythmiques.»

Inter Services Migrants, guide 2003