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théâtre compagnie l'Exit
Un homme à prendre
Alberto Lombardo
avril
jeudi 01
> 19h30
vendredi 02
> 20h30
durée : 1h10



Créé à Paris à l’Aktéon Théâtre
du 2 au 21 avril 2001

et joué au Chok Théâtre à Saint-Etienne
du 9 au 11 mai 2001,

puis au Carré Davidson à Tours
du 24 au 26 janvier 2002

et le 16 décembre 2002
au Théâtre du Gymnase-Marie-Bell


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La Presse

Un Homme à Prendre
Cette chronique d’une dérive intime se reçoit comme un coup au cœur.
Ce monologue âpre et cocasse démonte habilement les mécanismes insidieux de l’oppression sexuelle et sociale, les méandres sinueux de l’introspection.
Tout est intensément pensé et superbement mis en œuvre pour faire passer les failles, les vertiges et les contradictions de l’humain, les frémissements infinis de la vie: de la mise en scène au scalpel de Myriam Aadli, où se lit tout le chaos d’une âme fracassée, à l’interprétation saisissante d’Alberto Lombardo, habile à disséquer les blessures et motifs secrets du personnage. Faux semblants, douleurs intimes et confidences sexuelles, propos ambitieux, on retrouve ici la patte de ce jeune auteur prometteur.
Intelligent, troublant et excitant, Un Homme à Prendre nous propose une heure dix d’aventures épiques et de cruelle dérision. Une véritable plongée dans le bouillon de la vie. On prend, sans hésitation.

Myriem Hajoui – A Nous Paris

Un dégoût fascinant… Bien dirigé par Myriam Aadli, le bonhomme interprète lui-même son personnage. Il est fascinant de veulerie, de petitesse, de dégoût… Ce spectacle est très bon, mais il faut avoir le cœur solide. Ou pas de cœur, ce qui est encore une solution.

Jean-Luc Jeener – Figaroscope

Seul en scène, Alberto Lombardo reste assis sur sa chaise de supplicié pendant un peu plus d’une heure, racontant avec lucidité et dérision le repentir de ce macho invétéré… Un monologue à l’humour corrosif… Un exercice de style sans filet qui mérite le détour.
Stéphanie Belpêche

– Le Journal du Dimanche

Ecrit et interprété par Alberto Lombardo et mis en scène avec une sobriété percutante par Myriam Aadli, ce texte sonne singulièrement à l’oreille. D’une gravité extrême, il peut aussi faire éclater de rire, un rire salutaire, un exutoire à l’horreur… Surprenant, dérangeant ce spectacle captive avant tout, Alberto Lombardo détenant une force incroyable, tant par les mots et les non dits que par l’interprétation, pour nous happer dans son univers féroce mâtiné de dérision. On y court !

Caroline Fabre – Paris Boum Boum

C’est l’horreur. Dans toute sa simplicité, sa fascination, ses contradictions… Drôle et féroce… Cet homme à Prendre nous a pris, séduits. Et la mise en scène intelligemment sobre de Myriam Aadli a laissé le public sans armes face à ce condamné à l’amour… Les mots sont acérés à souhait, l’humour salvateur juste ce qu’il faut pour que passe l’âpreté de ce marivaudage. Cet homme à prendre , fascinant de douleur et qui se trompe de victime, fut interprété avec inspiration et justesse par Alberto Lombardo. Le pari fut réussi. On aurait dû le haïr. On a ri.

Gillette Duroure – Le Progès / Saint-Etienne

Un monologue
de et avec :

Alberto Lombardo

Mise en scène :

Myriam Aadli
et
Martine Merri


Tarifs
en euros
plein
13,00
réduit
10,00
spécial
7,00
scolaires
5,00
spectacle créé à l’Aktéon Théâtre à Paris en avril 2001, puis joué au Magasin Théâtre pendant le festival d’Avignon off 2001, au Carré Davidson à Tours en janvier 2002, au Théâtre du Mayapo au Puy-en-Velay en mai 2002 et au Théâtre du Gymnase-Marie-Bell à Paris en décembre 2002.