NOVEMBRE | | © Strasni Lhistoire de Loulou Djine commence à Paris en 1994 lorsque Dragan Urlic, fuyant la Yougoslavie en guerre, sy installe. Le " groupe ", qui ne comprend à ses débuts que deux musiciens, joue alors dans des restaurants, pour des fêtes privées et des mariages. Au hasard des rencontres et au fil du temps, des musiciens se joindront au duo, dautres en partiront, et Loulou Djine commencera à tourner dans les cafés-concerts parisiens, puis dans la France entière et les festivals de musique world, traditionnelle et jazz. Soutenu dès ses débuts par Nova, notamment par Rémi Kolpa Kopoul, fameux conneXionneur et découvreur de talent, Loulou Djine se taille rapidement une solide petite réputation. Exploration des thèmes traditionnels et tziganes des Balkans, la musique de Loulou Djine est le fruit dun métissage : percussions orientales, guitare manouche, violon tzigane classico-traditionnel, contrebasse made in Balkans, accordéon slave, quatuor à cordes
Au croisement des répertoires traditionnel, tzigane et des musiques actuelles, les cinq musiciens de Loulou Djine dorigine bosniaque, serbe, croate ont su réactualiser lamentos déchirants et tornades balkaniques pour créer un kaléidoscope de sons, de rythmes et démotions, le tout assaisonné de compositions originales. Ce jeune groupe a déjà à son actif deux albums : Aldranidjo, autoproduit et distribué par Next Music ; Transversal, le petit dernier, fini denregistrer et déjà prêt à sortir. Et la presse Tourbillon tsigane balkanique
(Libération) Lyrique au cur, mystique à, lâme et ludique au corps
(Nova Hors Série) Explorées par les musiciens de Loulou Djine, les traditions musicales tziganes se teintent de jazz, de rythmes et dharmonies orientales. Dragan Urlic chante avec fougue et chaleur ces mélodies nostalgiques et mélancoliques venues des Balkans, quil enflamme des envolées jazzy de son violon tzigane. le plus décapant des groupes slavo-parisiens issus dEurope centrale, une sorte de tornade à musique. Nova magazine Mêlant sonorités orientales et influences des Balkans, Loulou Djine produit une musique tzigane originale. Le Monde - Aden Loulou Djine réactualise les lamentos déchirants et autres frénésies enivrantes nées entre plaines hongroises, montagnes yougoslaves et steppes russes. Libération | | violon et voix principale Dragan Urlic guitare solo et accompagnement vocal Jean Philippe Watremez guitare solo et accompagnement vocal Branislav Zdravkovic contrebasse Raoul Cepelnik percussions Laurent Ghenin |