La Compagnie Michel Vericel
équipe artistique permanente depuis 1989, promouvoit par le théâtre la connaissance de textes fondamentaux de la littérature universelle en direction de tous les publics. Elle travaille souvent par cycles thématiques de deux spec-tacles : une petite forme avec 1 comédien et une grande forme avec plusieurs comédiens.

De 89 à 92, deux cycles explorent une certaine folie en compagnie d’auteurs contemporains :
«Le Journal d’un fou» (1989) et «Le Qui ?» (1991) de Luxun.
«Un certain Plume» (1990) et «Chaînes» (1992) de Henri Michaux.

Suit un cycle consacré aux cyniques :
«Diogène, tranches de vie» (1993) de Michel Vericel et «Le Marchand de paix» (1994) (Les Acharniens) d’Aristophane.

Puis le cycle des humanismes :
«L’Éloge de l’âne ou la vie brûlée de Giordano Bruno» (1996) de Michel Vericel et «Prométhée mal enchaîné» (1997) d’André Gide.

En 1998, un cycle s’est ouvert avec «Nietzsche, le voyageur et son ombre», de Michel Vericel, pour se poursuivre en 1999-2000 avec «Milarepa, par delà le bien et le mal», spectacle pour 1 comédien et 3 danseurs Buto.

En 2001-2002, un travail egagé autour de figures polonaises du début du 20ème siècle mène à la création de deux spectacles pour une chanteuse et un comédien : «Journal du Ghetto» de Janusz Korczak et «J’étais, je suis, je serai, Rosa Luxemburg !».